PETITION CONTRE LE MONOPOLE DE LA SECURITE SOCIALE

vendredi, septembre 28, 2007

LETTRE A NEODALI

Cher Ami,

Question au ministre des affaires sociales : combien a coûté la mise en œuvre et les distributions des cartes vitales 2 ?
Beaucoup plus de 200 millions qui ont été provisionnés pour payer les industriels.
Mais on ne parle pas de la conception, de la définition du nouveau masque des frais de mise en place; ni de la facture Alcatel, de l'expérimentation, etc. .

La question qui tue : Est-ce que pour exploiter cette nouvelle carte et en tirer la quintescence, le GIE fournit-ils de nouvelles APIS et de nouveaux lecteurs ? Non ? Eh bien elle ne sert donc à rien puisse que personne ne peut accéder aux nouvelle informations !

Mais comme je connais votre esprit redoutable je vais vous donner les ajouts dans les Cartes vitales 2 et je vous laisse imaginer ce que les éditeurs pourront en faire pour, rappelons-le, faire des économies :

1- le siècle de naissance de l'assuré.
2 - le numéro du médecin traitant.
3 - la photo.

Personne n'a encore trouvé à quoi pouvaient servir ces infos ?
Il y en a deux dont je suis à l’origine alors je sais..
Alors pour être sur que personne ne s'en serve illicitement et bien le GIE refuse de dire comment on y accède. Si vous continuez à l’embêter avec vos question il va les supprimer ?

Comme je vous sens en forme et d'humeur amusante voici deux petites questions pour vous détendre du Couple Maudit (voir infra topic précédent N.D.R.).
« les arrêtés du 14 mars précisent que lors de la demande de carte l'assuré doit fournir avec la photo une photocopie de sa CIN afin que la caisse contrôle les deux photos. Si l'assuré n'a pas de CIN il se déplace à la caisse pour le contrôle de visu.
Vous avez bien compris l'usage de la CIN. ? C'est sur elle que porte les questions …
Si Monsieur X vient avec une demande pour Monsieur Y mais avec sa photo a lui, comment la caisse détecte l’arnaque. Tu nous aides Monsieur ( Varax) ?

Question plus délicate : "- Pourquoi lors de l’envoi des éléments chez le fabricant de carte la loi oblige la caisse à joindre la Carte d’Identité Nationale ? Pourquoi n'envoie-t-elle pas directement à « MAM » ?

Vous avez le droit de vous faire aider par vos amis, si vous en avez ou votre famille s'il vous reste, ou alors par vos ennemis : vous en avez sûrement.

Si vous répondez bien je vous explique comment la loi autorise le ministre de l’intérieur à vous volez vos cartes tout en l’interdisant au Ministre de la santé.

Du grand art digne du conseil Constitutionnel !


JFS

LE QUIZZ DE LA CARTE VITALE




Fig 1-------------------------------------- fig 2

L’énigme de Couple Maudit
Par Jérôme Crêtaux.

Sur un carré d’ordre 5 on renseigne les huit premières cases ainsi (cf fihg 1) ou bien encore (cf fig 2)
Pour compléter la deuxième rangée nous disposons du 1 et du 3 ou bien du A et du C.
Quelque soit l’ordre dans lequel on dispose ces couples le nombre de carrés complets devrait rester le même.
Eh bien non.
En réalité si nous plaçons 1 et 3 nous pourrons compléter 1056 carrés latins alors que si on place 3 et 1 nous en obtiendrons 1582 soit une différence de 526.

Pourquoi?

Aide : ce couple n’est pas unique.

Réponses à j.cretaux@gmail.com

mercredi, septembre 26, 2007

09/29/2007


CONTRE LES FRANCHISES MÉDICALES, POUR L'ACCÈS AUX SOINS POUR TOUS, MOBILISONS-NOUS LE 29 SEPTEMBRE !

A partir de 14h - Gymnase Japy,
2, rue Japy 75011 Paris métro Voltaire

Nicolas Sarkozy a annoncé la création de franchises médicales au prétexte de financer les plans « cancer » et « Alzheimer » ainsi que les soins palliatifs.

Plus ça va, plus on fait payer les malades

D'abord présentées pour combler le déficit de la Sécu, aujourd'hui proposées pour traiter des maladies graves, aujourd'hui, proposées pour financer le plan Alzheimer, les franchises se rajouteraient à ce que les assurés sociaux doivent déjà payer. De lois en décrets, sous des prétextes variables - responsabilisation, trou de la sécu. - les assurés sociaux doivent payer toujours plus pour se soi-gner. 1967 déjà : le ticket modérateur - partie non remboursée par la sécurité sociale - devait diminuer la surconsommation médicale. Depuis, du forfait hospitalier au forfait par consultation en passant par les dépas-sements, ce qui reste à payer pour se soigner est de 240 euros en moyenne par personne et par an. Et pour 900 000 personnes cela atteint même 1 000 euros ! Pour beaucoup, c'est impossible. De plus, les franchises pour-raient remettre en cause la prise en charge à 100 % dont bénéficient les personnes atteintes de pathologies graves.

Avec les franchises, les malades paient pour les malades

Les gens qui n'ont pas les moyens renonceront à certains soins comme c'est déjà le cas pour les lunettes et pour les dents. Nous refusons l'instauration de telles franchises, socialement injustes, économiquement inefficaces et dan-gereuses pour la santé publique. Pour ceux qui ont une mutuelle, le ticket modérateur et le forfait hospitalier peuvent, dans certaines limites, être pris en charge. Mais les franchises ne le seront pas. La fran-chise au début c'est 50 euros, mais après. On voit ce qui se passe : le forfait de 1 ? par consultation qui - promis juré - ne devait pas augmenter et était plafonné à 1 ? par jour quel que soit le nombre d'actes peut aller depuis le 1er août jusqu'à 4 ? par jour. Les dépassements d'honoraires, ces franchises occultes, devaient rester « raisonnables », mais aujourd'hui peuvent atteindre plusieurs milliers d'euros pour une opération. Peu à peu les dépenses non remboursées augmentent.

Les franchises, c'est la fin de la solidarité et la remise en cause des principes fondateurs de la Sécu

Parce que - riches ou pauvres, jeunes ou vieux. - nous devons tous être égaux dans l'accès aux soins, la France a créé la Sécurité sociale en 1945. Le principe en est simple : chacun cotise selon ses moyens et reçoit selon ses besoins.À l'opposé de ce système solidaire, celui des assurances : selon le niveau - et donc le prix - du contrat, la couverture varie. Ainsi, se développe une médecine à plusieurs vitesses.

Le financement solidaire, condition indispensable pour améliorer notre système de santé

Il faut d'abord améliorer la prévention des maladies. Transformer les conditions de vie, de travail, d'environ-nement, d'alimentation. autant de pistes pour réduire la venue des maladies, comme le cancer, le diabète, et peut-être même l'Alzheimer. Notre pays n'a jamais été aussi riche. Il faut donc exiger un débat sur la part des richesses dévolue à la santé. C'est un choix de société. Alors, il faut choisir. Soit, comme l'a fait Nicolas Sarkozy, multiplier les cadeaux fiscaux (13 milliards d'euros) aux plus favorisés et les exonérations de cotisations pour les employeurs soit partager les richesses pour maintenir une Sécu fondée sur la solidarité. Là est le coeur du débat.

PAS DE LOI SUR LES FRANCHISES
SUPPRESSION DE TOUTES LES FRANCHISES
LE 29 SEPTEMBRE, DANS TOUTE LA FRANCE, NOUS EN DISCUTERONS.
NOUS SOMMES TOUS PROPRIÉTAIRES DE LA SÉCU.
ALORS, PENSONS SON AVENIR ENSEMBLE !

Act up ; Aides ; Alter Ekolo ; Association des Médecins Urgentistes de France (AMUF) ; Appel contre la Franchise ; Association Nationale des Médecins Référents (AMedRef) ; ATTAC France ; CADAC ; Collectif « La Santé n'est pas une marchandise » ; CGT de l'administration centrale des Affaires sociales ; CNDF ; Confédération paysanne ; Convergence Citoyenne ; Convergence Nationale des Collectifs de Défense et de Développement des Services publics ; Collectif des Médecins Généralistes pour l'Accès aux Soins (CoMéGas) ; Coordination des Collectifs unitaires anti-libéraux ; Coordination Nationale des Comités de Défense des Hôpitaux et Maternités de Proximité ; Fondation Copernic ; FSU ; LCR ; Les Alternatifs ; Les Verts ; LMDE ; Mars-Gauche répu-blicaine ; MRC ; ONSIL ; Parti Socialiste ; PCF ; Résistance sociale ; Syndicat de la Médecine Générale (SMG) ; SNES-FSU ; SNUipp-FSU ; Syndicat national des Infirmier(e)s conseiller(e)s de Santé-FSU (SNICS-FSU) ; Sud Education ; Union des Familles laïques (UFAL) ; Union Nationale Alternative Mutualiste (UNAM) ; UNEF ; Union Syndicale Solidaires ; Union Fédérale Sud Protection Sociale ; Union fédérale Sud Santé Sociaux ; Union Nationale des Groupements Mutualistes Solidaires (UNGMS) ; Union Nationale des Retraités et des personnes âgées (UNRPA) ; Union Syndicale de la Psychiatrie (USP)

Samedi 29 septembre, 14 heures
CONTRE LES FRANCHISES MÉDICALES
POUR L'ACCÈS AUX SOINS POUR TOUS

4 heures de débat et de mobilisation

FRANCHISES OU SOLIDARITÉ
Débat introduit par le professeur Grimaldi

INÉGALITÉS SOCIALES ET ENVIRONNEMENTALES DANS LA SANTÉ
Débat introduit par l'économiste Pierre Volovitch

AMPLIFIER LA MOBILISATION
Débat introduit par Françoise Nay, gérontologue et Christian Lehmann, initiateur de l'Appel contre la franchise

Gymnase Japy,
2, rue Japy
75011 Paris
métro Voltaire


vendredi, septembre 21, 2007

LES FUTURS MEDECINS ASSIGNES A RESIDENCE


Chers amis,

Pour tenter une nouvelle fois de noyer le poisson (poison?) des déficits insurmontable et de la gabegie incroyable de la sécu, ses"
huiles syndicales" aidées par quelques politiciens "recasés", pantouflant dans des organismes inutiles, tentent une nouvelle fois de détourner l'attention du public sur les médecins... avec la remise en question de leur liberté d'installation. Ce qui est amusant dans cette constatation tardive de la désertification médicale c'est qu'elle survient après la fermeture systématique de lits d'hospitalisation de chirurgie de médecine et de maternité de proximité.. et après un numerus clausus dont on n'a pas fini de voir les effets négatifs...

De plus il me parait évident de souligner que si les conditions d'exercice et de rémunérations ainsi que le statut social des médecins n'avait pas cessé de se dégrader au fil des ans, il serait indifférent à la plupart des jeunes médecins de s'installer dans la Creuse ou la Lozère...

Quand on VEUT bien vivre on s'installe logiquement là ou on a le moins de concurrents...encore faudrait-il POUVOIR bien vivre LA DESERTIFICATION MEDICALE NE S'EST PAS PRODUITE PAR LA FAUTE DES MEDECINS, mais du fait de l'obsession de conserver un système de financement collectivisé, obsolète et inadapté des dépenses de santé qui nuit objectivement à l'ensemble de la population par le biais d'une gestion de pénurie d'origine structurelle, tout en ruinant l'économie du pays..

Pour en finir avec ces problèmes au moins trentenaires, il faut commencer par en finir avec le sécu de grand papa et son incapacité permanente et définitive à financer le progrès médical et la demande de soins croissante des français.

JFH

jeudi, septembre 13, 2007

JOHN FULLSPEED - LE RETOUR




Les baisés comptez-vous !!!

Le monde informatique en effervescence : une vaste opération de piratage informatique sur les serveurs www du monde entier. Tous les pays sont concernés, tous les gouvernants sont la cible des pirates qui agissent depuis la Chine. L'enquête révèle l'étendue du complot .

Comme pour Tchernobyl, la France semble épargnée ou du moins légérement atteinte à en juger par les mesures mises en place ! Je conseille aux citoyens craintifs pour notre démocratie de rentrer en contact avec la Cyber-Police (*)

Les spécialistes de notre GIE ne pouvant nous donner aucune information, nous avons lancé notre vague de techniciens sur les réseaux informatiques. Après d'âpres recherches et grâce à l'acharnement de certains, la vérité nous est apparue.

La première surprise a été l'origine de notre information : l'école maternelle UDERZO de Beaulieu sous la Roche (Vendée. Un spécialiste âgé de 2 ans et maîtrisant mal le français nous a déclaré : “Dis Monsieur si tu crois aux bourrages de crâne du gouvernement, est-ce que tu crois aussi au Père Noël ? Et tu votes aussi ?

Comment un enfant de deux pouvait-il savoir cela ? Qui le lui avait dit ? Mais personne ! Et notre gamin n'est même pas un surdoué. Le raisonnement est celui d'un enfant de deux ans, mais qui déjà sait que le Monsieur qui cause dans le poste est un clown et que ce qu'il dit n'est pas vrai: se sont des blagues !

Alors que s'est-il passé ? RIEN. Qui a découvert l'attaque ? Personne. Qui a été attaqué ? Des gouvernements étrangers. Que voulaient ou cherchaient les pirates ? Rien. Qu'ont-ils attaqué ? Des serveurs web. Seule information technique. D'où étaient-ils ? On ne sait pas, mais se sont les Chinois.

Comme disait Coluche, quand on a aussi peu de choses à dire, on ferme sa g… Alors on va revenir sur les deux seules informations avérées ; attaque de serveur Web et menace chinoise.

Alors, c'est quoi un serveur WEB et pourquoi en créer tant. Un site web c'est exactement comme la plaquette de présentation ou le catalogue d'une entreprise : simplement de la communication.

Alors grande nouvelle : les catalogues et les plaquettes ont été lus. Vous voyez le scandale : on met des pages à la disposition des gens et ils les lisent !

S'il existe un conn... au monde qui a laissé des informations sur un site Web, c'est comme ceux qui prétendent savoir voler et qui se jettent du haut de la Tour Eiffel. On efface les traces qu'ils laissent sur le bitume.

La deuxième declaration, elle, est vraie ; nous assistons à une intensification du trafic via la Chine y compris pour le web. La raison est simple au pays des droits de l'homme que peut être la Chine, où rappelons le, web est contrôlé, et je ne parlerai pas du reste, et bien, à la surprise générale, c'est le seul pays qui respecte l'anonymat sur le net en refusant de fournir les DNS (Data Name Serveur). Alors oui, tous les épris de liberté fuient le flicage de Sarko et utilisent les services chinois.

Maintenant tout s'explique : les ficheurs professionnels voient tout le monde partir à la recherche de l'anonymat, plus de flicage, de fichage, plus d'écoutes Internet. Il faut donc faire peur aux gens en agitant une vague menace avec la Chine. On leur en dit suffisamment pour leur faire peur et on en profite pour dénigrer la Chine et la 'Liberté qu'elle représente, (à son corps défendant)

Alors les petits français, on a bien eu peur du grand méchant Nicolas, on n'utilisera plus les serveurs DNS chinois. On vous a bien eus en montant cette histoire : c'est Bush qui a eu l'idée en rentrant d'un raid sur Bagdad Faut dire que là bas aussi ils sont pas futés : On les tue pour leur bien. Gratos. Et ils ne veulent pas, quelle ingratitude !

On dit comment ? On vous a bien baisés ?

Super Sarko Super héros du 9 3 (*)

Coordonnées de l'office de répression des fraudes info…

JFS

samedi, septembre 08, 2007

ETHIQUE MEDICALE ET CONVENTIONNEMENT, UN PROBLEME DE FOND


​​Cher monsieur,

Puisque voue avez eu la gentillesse d’ accepter la discussion je me suis permis de vous ouvrir mon coeur de vieux médecin libéral con-ventionné après 34 ans de carrière, basée sur une vraie disponibilité envers les malades, récompensée par une montée du “racisme anti-médecin” et une vraie détérioration du statut social des professionnels de santé, largement imputable à votre chère sécu, dont je ne peux que souhaiter objectivement le remplacement . basé sur un principe :l’assurance aux assureurs la solidarité à l’Etat.

Je découpe la partie de votre argumentaire qui tend a vouloir démontrer qu'on pourrait financer la sécurité sociale

“Comme le PIB est de plus de 1700 millards d’euros ,ces 10points de PIB correspondent en euros d’aujourd’hui à 170 milliards d’euros qui se sont déplacés vers les profits Ou dit autrement,si le curseur revenus du travail-profit était le même qu’il y a 25 ans, nous aurions 170 milliards d’euros en plus par an (en euros d’aujourd’hui) et il n’y aurait plus de déficit comptable pour la Sécu( 14 milliards de déficit comptable prévus en 2007). Il est donc faux de dire que nous ne pouvons pas financer notre protection sociale. “

Prouvez ce que vous dites , dites précisément qui a bénéficié de cette manne et pourquoi les gouvernants apparemment masochistes y compris de gauche ont laissé filer la dette publique a 1800 milliards d'euros

Une précision: il y a 25 ans la sécu était déjà depuis plusieurs années dans le rouge (sans mauvais jeu de mot)

Vous nous ressortez le vieux serpent de mer du trésor caché que des malfaisants utilisent pour s'enrichir en secret, dites nous vers les profits de qui dans une France qui établit des records de faillites et ou les entreprises ferment faute de capitalisation suffisante et parce qu’elle croulent sous des charges insupportables.

En France, l’Administration a longtemps été la colonne vertébrale de la Nation et son ingérence dans l’économie est bien supérieure à celle de la plupart des pays industrialisés, dans aucun pays la diabolisation du secteur privé n’y est plus importante, voulez-vous nous décrire ce qu’il y a de si néolibéral dans l’économie française depuis 60 ans. Le terme de néolibéralisme est n terme commode pour désigner toute tentative pour s’extraire du pouvoir administratif qui est passé d’un dévouement quasi total à l’intérêt général, à la seule défense de ses propres intérêts.

C’est particulièrement le cas des factions syndicales qui gèrent la sécurité sociale sans aucun mandat électif et sans réelle représentativité des assurés sociaux. D’autre part le comportement du système envers les professionnels de santé ne cesse d’évoluer vers un caporalisme de type stalinien et une gestion autoritaire d’une pénurie structurelle Le recours à des juridictions d’inspiration pétainiste , les SAS pour sanctionner les praticiens et au seins desquelles les droits élémentaires de la défense des individus sont bafoués, les conventions-prisons sans réelle compensation sociale pour les professionnels de santé (voir l’état de notre ASV...) les références médicales “bidons” dictées par les seuls objectifs comptables (exemple:” il n’y a pas lieu de pratiquer un dépistage systématique du cancer de la prostate”) la casse de l’appareil sanitaire, la raréfaction des praticiens RIEN DANS TOUT CELA N’EST DU A L’APPLICATION D’UN QUALCONQUE NEOLIERALISME mais à la persévération dans l’utilisation de méthodes de financement collectivisés OBSOLETES directement inspirer pas la pire forme de

"paléosocialisme qui soit . En France c’est bien une forme de paléosocialisme qui domine en particulier dans la gestion de la protection sociale et non un forme de néolibéralisme. L’instrumentalisation de la notion de solidarité atteint des sommets de duplicité et de cynisme rarement égalés .

Enfin s’il est possible de financer notre protection sociale comment expliquer qu’aucun politicien même de gauche n’ai pris les dispositions qui l’auraient permis. Tout cela serait tolérable si la sécu était ce qu’elle prétend être malheureusement c’est un “fromage” comme l’est d’ailleurs sa demi-soeur (associée? concurrente? Amie? ennemie?) la mutualité qui se nourrit de ses insuffisance en devenant une vraie puissance financière au point que l’Etat est devenu depuis longtemps son débiteur...

Vous avez parfaitement raison de sous-entendre que tout est politique en particulier à travers tout ce qui vise à maintenir le pouvoir injustifié des minorités agissantes syndicales qui se nourrissent au sens propre et au sans figuré de la gestion de notre protection sociale. De l’achat de part dans les vignobles du bordelais à la production de film en pasant par la redistribution d’un euro sur trois prélevés, la mutualité pour laquelle” la santé n’est pas un commerce” engrange des bénéfices sous couvert de la solidarité..au point de venir le secours des politiques dispendieuses et” infinançables” de nos politiques Serait-ce le “néolibéralisme” dont vous parlez? C’est incontestablement du néo capitalisme ...

La sécu c’est avant tout UN GRAND BORDEL INGERABLE, l’atomisation de régimes professionnels de sous-caisses parfois microscopiques et à peine informatisées de régimes de retraites financés en dépit du bon sens... Un exemple que je connais bien la CARMF..

Comment pérenniser un système de retraite par répartition si A CAUSE DE L’ASSURANCE MALADIE DITE SOLIDAIRE on fait tout pour réduire l’offre de soins en établissant un numerus clausus et en faisant partir à la retraite anticipée des médecins déjà rares grâce à des incitations au départ du type MICA? Je vous le demande.... Ces dysfonctionnements sont-il a mettre au compte d’une prétendue gestion néolibérale? ou a celui des ronds de cuirs “paleosocialistes”?

La politique est en effet une activité qui devrait se préoccuper des faits .. Et une question nous taraude ou passe l’argent de la sécu? Par quoi justifie-t-elle la rémunération de permanents syndicaux qui confine aux emplois fictifs? Comment justifie-t-elle la détention d’un patrimoine immobilier dont bénéficie à vil prix certains de ses sympathisants? Comment justifie-elle les pseudo-congrès arrosés souvent outre-mer? Et enfin pourquoi finance-t-elle directement les syndicats médicaux sinon pour les maintenir à sa botte?

Ou est la démocratie dans tout cela? La dernière fois que j’ai participé, à des élections professionnelles à la sécu c’était en 1983... Les résultats n’ont pas du plaire ... Ka démarche n’a pas été renouvelée ...

Mon degré de dissidence et de contestation va bien au delà de ce que vous imaginez je considère en effet comme immoral et contre toute éthique médicale le conventionnement entre un professionnel de santé et un organisme payeur quel qu’il soit (public mutualiste ou privé) et ma plus grande crainte serait de voir les assureurs privés “singer” la sécu dans ce domaine.. Ce qui est d’ailleurs facilité par le fait que certains hauts dirigeants des assurances privées sont des anciens de la sécu et que leurs vieux réflexes dirigistes sont intacts...
C’est au patient d’avoir un contrat avec son assureur maladie PAS AU PRATICIEN.... Montrez-nous le contrat des assurés sociaux avec l’assureur public.....

Enfin il ne faut pas croire que je considère l’évolution libérale de notre protection sociale comme angélique et exempte de danger.. Il faudra que la société civile annihilée par 60 ans de collectivisme de fait du système, et de jacobinisme de droite , prenne enfin sa place dans notre société C’est a la société civile d’imposer grâce à des associations citoyennes aux assureurs privés les critères d’ accréditation pour l’assurance maladie que j’évoquais dans mon E.mail précédant .

Enfin pour citer Bernard ZIMMERN le fondateur de l’ IFRAP :”il y aura toujours des individus ou des petits groupes pour s’apercevoir qu(il est rentable d’utiliser le pouvoir législatif, réglementaire,ou judiciaire pour dériver vers leurs poches sans grand effort sinon un effort de dissilmulation et de publicité, une partie du produit national”... La défense des citoyens contre ces prédateurs publics ou privés “durera aussi longtemps que la démocratie dont elle est une partie intégrante”.

Qui a votre avis est le plus en mesure de manipuler l’appareil législatif et judiciaire pour parvenir à ses fins la sécu ou les assureurs privés ?

Cordialement,

JFH

​​​​​

vendredi, septembre 07, 2007

DEVOIR DE RENTREE : EXPLICATION DE TEXTE


Chers amis,

Voila exprimées la thèse et l'antithèse des positions en matière de régimes légaux et professionnels défendues par les pro et la anti-monopole de la sécu.

La thèse

La France persiste de façon pathétique a définir ses systèmes d'assurance maladie et de retraite comme des régimes légaux alors même que leurs fonctionnements et leurs dénominations les définissent comme des régimes professionnels. Cette attitude n'a pour but que de soustraire ces régimes aux principes de concurrence communautaire en la matière.

2°L'antithèse

C'est curieusement leur caractère obligatoire qui définit le mieux le caractère légal de ces régimes En effet si leur fonctionnement et leurs dénominations les désignent comme des régimes professionnels l'obligation d'y souscrire est régie par des lors, dès lors, comment un citoyen français pourrait-il s'y soustraire...d'autant qu'en matière de Lois scélérates le couple infernal Veil-Barrot en rajouté une couche interdisant le bénéfice de tout contrat de retraite même par capitalisation à ceux qui ne sont pas à jour de leurs cotisations obligatoires...

3°La synthèse

Il découle de ce qui précède que les discussions entre ces deux thèses risquent de durer et que pour les faire cesser il faudrait obtenir une décision européenne qui condamne l'attitude de la France de façon explicite et même en citant tous les cas de régimes litigieux Il faudrait que cette décision précise que la France n'est pas fondée à définir des régimes professionnels comme des régimes légaux à la seule fin de les soustraire à la concurrence communautaire.

Je doute que des jugements aussi précis soient émis avant longtemps.

La construction européenne se fait à petits pas contre les particularismes locaux les relents de souverainismes et les référendums débiles.

Ceux qui veulent faire avancer l'Europe doivent avoir l'âme chevillée au corps et ne bonne dose de diplomatie pour ne pas heurter les divers Etats membres et en particulier la France avec sa sacro-sainte Sécu.


IL FAUDRA POURTANT BIEN QUE LA PROTECTION SOCIALE CHANGE D'OUTILS...


Il résulte de tout cela que tous ceux qui comme Bruno Gomez auront le courage d'affronter juridiquement "l'Hydre solidaire" obtiendront soit des jugements favorables soit des jugements défavorables à propos de la même requète anti-monopoliste , en fonction de la thèse retenue par les juges....

Ceux qui gagneront ne seront pas inquiétés mais leurs jugements seront considérés comme des cas d'espèce ne pouvant pas faire jusrisprudence..(C'est APOS 2 bis..).

Pourtant nos politiciens auraient pu "sauter" sur les textes européens et les interpréter de façon intelligente pour sortir du bourbier qu'est notre modèle social qui en 60 ans d'existence a connu 30 ans de dysfonctionnements


1° Première période: euphorique sorte d'état de grâce social
2° Deuxième période :celle des déficits structurants au cours de laquelle le financement collectivisé a permis de construire un système de soins enviable
3° Troisième période: celle des déficit "tolérés" avec début d'agression du corps médical et début de gestion de pénurie collectiviste
4° Quatrième période celle des déficit subis.. au cours de laquelle le système devient progressivement aussi chiant pour les professionnels que pour les ministres des finances et commence sérieusement à altérer le système soins, en organisant une pénurie de professionnels et en fermant les lits d'hospitalsation les maternités etc...
5° Cinquième période celle des déficits léthaux dans laquelle le système est entré et dont il est exclus qu'il puisse sortir....


Dans l'attente d'un miracle produit par la TVA sociale qui ne produira d'effet que si les autres prélèvements baissent pour permettre la consommation ...si l'inflation ne redémarre pas... si la croissance progresse et si et si.... et si......ma tante en avait ......elle deviendrait mon oncle

On peut attendre une autre sorte de miracle : dans un gouvernement d'ouverture les socialistes finissent pas reconnaître que les outils de la protection sociale définis il y a 60 ans doivent changer et que les solutions sociales et libérales peuvent voir le jour...


FINANCER UN HAUT NIVEAU DE PROTECTION SOCIALE IMPLIQUE L'ELARGISSEMENT ET LA DIVERSIFICATION DES RESSOURCES peut-être que cela finira par rentrer après tout...


PRIONS..... mes frères
Amitiés à tous

JFH



mercredi, septembre 05, 2007

FL UXRSS & GiE





ASPECTS HISTORIQUES

A PROPOS DU RSS DE CEGETEL ET D'AUTRES RESEAUX...
TEMOIGNAGE DE L'INFORMATICIEN JEROME CRETAUX.


Préambule : Pour comprendre cet article technique de l'informaticien Jérôme Crêteau, quelques explications et définitions préalables sont nécessaires.

Le projet Sesam-Vitale consiste à mettre en place une carte d'assurance-maladie électronique avec une transmission de flux informatiques. Pour y parvenir tous les régimes se sont regroupés pour créer une « Mission Sesam-Vitale ». Cette mission est maître d'oeuvre du projet (architecte) et elle a créé en 1993 un groupement d'intérêt économique qui a la maîtrise d'ouvrage (GIE Sesam-Vitale). Ce GIE est l'interlocuteur des éditeurs de logiciels.
Le Réseau Santé Social (RSS) est un réseau créé par Cegetel (Vivendi) en 1997 spécialement prévu pour acheminer les feuilles de soins électroniques du cabinet du professionnel de santé vers Cegetel qui les envoyait ensuite à la caisse de Sécurité sociale par ses « tuyaux ».

Fin du préambule

Au début du lancement du programme Sesam-Vitale, le transport des feuilles de soins électroniques (FSE) a été confié pour cinq ans, après un appel d'offres, à la société Cégetel (1997). 11 lui appartenait d'organiser et mettre en place un réseau électronique pour la circulation de ces dernières depuis le cabinet du professionnel de santé jusqu'à la caisse liquidatrice des demandes de remboursement.
La Mission Sesam-Vitale se déchargeait ainsi de tous les problèmes techniques liés à cette activité. On avait fait miroiter à Cegetel l'obligation de tous les professionnels de santé de passer par elle. Le contrat était prometteur.

Pendant ce temps en Vendée, les auteurs d'un logiciel de feuilles de soins électroniques (FSE) appelé "O Vitale ont pris la peine de lire en détail leurs obligations par rapport à Cegetel et réciproquement. Ils y ont trouvé une obligation pour Cegetel de faire suivre au Groupement d'Intérêt économique (GIE) Sesam Vitale toutes les feuilles de soins qui lui arrivaient. Cette mesure interdisait donc à Cegetel de refuser une FSE qui ne lui plairait pas et garantissait à la Mission Sesam-Vitale l'arrivée des FSE.
Mais nos Vendéens en ont eu une autre lecture: au lieu d'envoyer des FSE au RSS comme cela semblait imposé, il suffisait d'envoyer la FSE à l'adresse Cegetel pour que ce dernier transmette les FSE à la caisse liquidatrice. En réalité, techniquement, ce n'était qu'un problème d'adresse.
Tous les éditeurs de logiciels se gaussaient joyeusement des élucubrations de ces informaticiens travaillant dans un garage (référence aux débuts du constructeur Apple à Cupertino). Et puis un matin, ces derniers ont obtenu leur agrément pour leur logiceil é0 Vitale. Mieux, la solution de télétransmission des feuilles de soins électroniques développées avec France Telecom est diffusée sous le nom de Wanadoo Santé.
Plus besoin de Cegetel, les feuilles de soins lui arrivaient par Internet et il ne pouvait faire autrement que de les router. Nos auteurs n'ont d'ailleurs jamais eu affaire avec Cegetel, ils avaient juste lu les textes. Qu'aurait-on pu leur reprocher?
Dans la semaine qui a suivi les éditeurs proposaient à leur client une connexion via leur abonnement personnel. Ce qui a enlevé des clients potentiels à Cegetel qui a été victime d'une « back door* » comme on dit en informatique.
Jérôme Crêtaux, l'un des auteurs d'éO Vitale

*« back door »: porte cachée; on prête aux informaticiens de toujours laisser dans leurs logiciels une méthode qui permette de contourner les protections. Ce n'est pas systématique et ce n'est pas réservé aux informaticiens.

RETRAITE PAR REPARTITION : UNE ESCROQUERIE ?





Paris, juin 2007

Cher Confrère, Madame, Monsieur,

Entre solidarité et escroquerie, ou la répartition en toute honnêteté

Ayant reçu récemment quelques réfractaires à la CARMF désirant rentrer dans les rangs (moins de 1% des confrères), ils me posaient chaque fois deux questions tout à fait logiques : combien cela va me coûter, combien cela va me rapporter.

Combien cela va me coûter ? Pour un médecin ayant par exemple 5 ans de cotisations de retraite en retard à régler, 65 000 € en moyenne (53 000 € pour le secteur 1), étalés sur 5 ans plus les années à venir. Au delà de 5 ans d’arriérés, des aménagements spécifiques sont prévus concernant les années déchues, pour aider les confrères à régulariser. .../...

mardi, septembre 04, 2007

QUI A OSE ?




" qui est sorti du systeme carmf urssaf ?" (qui a osé?)

Bonne question.... personne évidemment puisque c'est impossible et même illégal.
Pour ce qui est de l'URSSAF , il ne faut pas être très malin pour observer que cet organisme ne sert A B S O L U M E NT à rien et que les cotisations sociales pourraient être prélevées par les Percepteurs .. mais ça c'est une autre histoire Pour répondre effectivement à la question de noter ami Honirat,il faudrait comme le dit le Dr Maudrux dans le livre blanc et noir de la CARMF préciser "à qui profite le crime..."

Les rapports pervers qui se sont organisés entre la CARMF la sécu et l'Etat, ont eu pour but de faire entrer tous les médecins et les malades dans le moule de l'assurance sociale collectiviste. La tutelle a patiemment organisé la dépendance financière des médecins de telle façon que la sortie du système leur paraisse impensable et que l'exercice hors convention ne soit qu'une vue de l'esprit.
Les collectivistes ont d'ailleurs utilisé l'appât du gain pour faire tomber nos prédécesseurs dans leurs filets ,c' est sur la promesse "d'honoraires différés" et d'un doublement de la retraite à cotisation égale que la cotisation ASV a été rendue obligatoire, après un référendum dont la question a été complètement truquée. Dans le même temps, le conventionnement est apparu à nos aînés comme l'assurance de revenus constamment revalorisés et d'une retraite élevée rendue possible par l'augmentation des effectifs médicaux, d'autant que les promesses de revalorisations s'accompagnaient de celles d'avantages sociaux en échange d'une constante modération tarifaire tout était donc parfait dans le meilleurs monde social possible pour les assurés comme pour leurs thérapeutes...
On aurait pu y croire en effet si des signes EVIDENTS de la mauvaise foi de la tutelle n'étaient pas rapidement apparus et que le délire de l'assurance dite solidaire n'était pas rapidement apparu comme impossible à financer... (voir la date de la constatation du premier déficit de l'assurance maladie) et que tous les systèmes qui en dépendaient dont la retraite des médecins étaient destinés à suivre le même chemin Dès le début des années 70 la tutelle s'est orientée vers une gestion de la pénurie en essayant de diminuer l'offre médicale, en accusant le corps médical d'incompétence et d'âpreté au gain, puis ce fut au tour des malades qualifiés d' irresponsables (souvenez-vous des slogans "votre santé n'est pas un commerce".... la sécu s'est bien .. en abuser ça craint...etc) Au total une action de plus en plus nulle inefficace et perverse dans ses raisonnements comme dans ses conséquences économiques Paradoxalement les premiers médecins retraités ont bénéficié de retraites mirifiques par rapport à leurs cotisations, puisque les effets pervers de la diminution de l'offre médicale n'avaient pas encore pu se produire C'est cet état de grâce qui a vraisemblablement poussé les gérontocrates de la CARMF a persister dans leurs erreurs....

LA SUITE NOUS LA CONNAISSONS : baisse permanente de la participation effective des caisses à notre retraite, dilapidation des réserves de la CARMF, baisse VOULUE des effectifs médicaux, blocage des honoraires sans compensation d'aucune sorte, effondrement du rendement de notre placement retraite obligatoire Dès 1970 il est apparu que ce système n'avait pas d'avenir et il a été maintenu sous la pression des syndicats collectivistes gestionnaires de la CNAMTS et grâce à la crédulité et l'incompétence économique des médecins... Aujourd'hui encore ce discours d'une totale évidence , alors que les chiffres ont parlé et que personne ne les conteste même au niveau de l'Etat, agace une partie de nos con-frères Aujourd'hui le rêve de la médecine socialisée se transforme en cauchemar.. cela fait plus de trente ans que c'était prévu Les solutions passeront par le retour à la situation antérieure au con-ventionnement et à la pluralité de l'assurance maladie qui était en train de s'organiser avant que l'on offre la sécu aux communistes et apparentés en 1946 pour des raisons de politique intérieure Le Rapport du Dr Maudrux est un chef d'oeuvre d'analyse sociale et chacun peut essayer de l 'argumenter et accepter de se rendre ridicule Je crains que sa solution qui consiste à sortir du système en maintenant le plus possible les acquis et en passant à autre chose, ne soit pas encore assez évidente pour tout le monde... Les raisons qui poussent à refuser le principe même du conventionnement apparaissent encore comme issues d'une forme de poujadisme alors qu'elles sont de pure raison.

Aujourd'hui l'Etat qui constate, comme tout le monde, la catastrophe financière de la CARMF se retranche derrière les négociations conventionnelles, et la responsabilité collective des médecins et de leurs syndicats représentatifs En effet les syndicats que je qualifie d'accompagnateur conventionnels et financés par la sécu ont tout accepté. Ils ne sont plus représentatifs de la majorité des médecins et ils doivent payer pour leur incompétence En dépit de toutes les évidences mathématiques les principes fondateurs du système dit solidaire aussi racoleurs que débiles sont sont constamment répétés comme si répéter des conneries suffisait à en faire des idées géniales Il devient donc de plus en plus évident que la lutte actuelle pour une nouvelle conception de l'assurance maladie et la poursuite du progrès médical ,doit s'orienter comme je le dis sur cette liste depuis 5 ans vers le refus du fait conventionnel et la disparition du monopole de la sécu comme préalables à toute réforme du système de soins.

Je l'ai déjà dit ....je sais.... mais comme j'ai (modestement) de plus en plus raison je le répète pour ceux qui n'ont pas le même braquet que le Dr Maudrux .

JFH
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