PETITION CONTRE LE MONOPOLE DE LA SECURITE SOCIALE

mercredi, février 27, 2008

APPEL CONTRE LA FRANCHISE DE SARKOZY




Nous nous faisons le relai d'une action dont le titre ne manque pas de chien:

APPEL CONTRE LA FRANCHISE SARKOZY

Que nous applaudissons par ailleurs des deux mains.
Nous pourrions dire en guise de conclusion que la franchise de sar
l kozy n'a plus aucun crédit et que sa caisse est vide de sens.

Neodali

lundi, février 25, 2008

SARKOZY SE TERMINA ESTO [ELPAÏS 25/02/2008]




LLUÍS BASSETS

Sarkozy c'est fini

LLUÍS BASSETS 14/02/2008

Los franceses tienen un problema. Creían que tenían un superpresidente, un hipergobernante, que les sacaría de la depresión y de la decadencia, y ahora se dan cuenta de que tienen un presidente como han tenido muchos otros, enfermo, limitado en sus funciones, al que hay que cuidar y proteger mientras se organizan las cosas para que Francia funcione y el Gobierno y las instituciones cumplan con su cometido. No es una situación insólita: también estuvieron enfermos y disminuidos Pompidou y Mitterrand, y el primero murió de la dolencia en el Elíseo; y Chirac se convirtió en un engorro paralizante durante buena parte de su presidencia. La enfermedad que sufre Sarkozy no tiene la gravedad del cáncer de próstata de Mitterrand, pero afecta a un órgano tan vital como es el ego, que sufre de una hipertrofia probablemente irreversible. Siendo una persona tan joven y activa, sobre todo sentimentalmente, la dolencia es seria y de tratamiento difícil.

Las encuestas dan una idea de la gravedad de su situación, cuando todavía no se ha cumplido un año de la elección. Su popularidad se halla en caída libre, en contraste con la buena imagen de su primer ministro François Fillon, algo que invierte el tradicional orden de las cosas, que obliga al Gobierno a actuar de fusible. Cuanto más se acerca el 9 de marzo, fecha de las elecciones municipales, más crece el nerviosismo entre los candidatos del partido presidencial y más se temen las intervenciones de Sarkozy que puedan restar votos. Su partido se halla dividido y enfrentado, por las tensiones que ha creado el propio presidente, la última de las cuales ha sido meter los dedos en las candidaturas de Neuilly, la ciudad de la que fue alcalde. Han salido a la luz pública las tensiones entre el Ministerio de Exteriores y sus asesores. El trato que ha proporcionado en público a unos y otros, incluso a sus colaboradores más íntimos, es el propio de un monarca caprichoso y atrabiliario hacia sus lacayos. Vejados e insultados sus asesores por el propio señor del Elíseo, puenteados los ministros por los asesores presidenciales y los parlamentarios por las comisiones especiales a las que se les encargan las grandes tareas de reforma, Sarkozy se dirige hacia un altivo aislamiento personal que sólo puede conducir a la ira o a la melancolía. Incluso su impopularidad es extravagante: no se debe a su inaplicado programa reformista, sino a su comportamiento personal.

El trono que Sarkozy ocupa fue diseñado como escabel para un diálogo transatlántico con la Casa Blanca. De Gaulle quería ser el tercero en discordia en un mundo bipolar, un soberbio matiz occidental a la confrontación con Moscú. Este biznieto liberal y proamericano de De Gaulle (después del nieto Chirac y del hijo Pompidou) se ha instalado con poderes acrecentados por su ambición y su idea personalísima de la presidencia. Pero una vez obtenida, se ha dedicado fundamentalmente a sí mismo, como un adolescente narcisista, ocupado en sus sentimientos y placeres. El poder puede proporcionar muchos, pero la prudencia aconseja no hacer mucha gala de ellos. Sarkozy hace lo contrario y se refocila en la temeridad y en la exhibición.

Tres han sido los puntos por donde se ha roto el personaje: la economía, que no ha experimentado mejora alguna; su ideario, más neocon e incluso teocon que gaullista, manifestado en sus criterios sobre la laicidad ajenos a la cultura republicana; y su vida íntima, aireada y expuesta ante los medios como nunca antes había sucedido. Ha fracasado como rey taumaturgo, que por su imposición de manos debía incrementar la capacidad de compra de los franceses, hasta verse obligado a pronunciar la frase maldita que rompe los sortilegios: "¿Qué esperáis de mí? ¿Que vacíe unas arcas que ya están vacías?". Como rey filósofo, ha suscitado las mayores reservas respecto a las tradiciones republicanas, sobre todo cuando ha expresado con desenvoltura sus simpatías intelectuales por el Papa en Roma. Y sólo ha triunfado plenamente en su papel de sultán en el serrallo, con los ropajes que más interesan al gran público y, por lo que se sabe, también a sus pares, fascinados por su capacidad de seducción, su buen gusto y sobre todo su desparpajo, rayano en la desvergüenza. Pero ahí lo que ha conseguido deprime de nuevo a muchos franceses: ha puesto la República a la altura del Principado de Mónaco.

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dimanche, février 24, 2008

QUAND LES PSYS SE PENCHENT SUR LE CAS SARKOZY




le journal Marianne2.fr titrait 22 jeudi février; nous nous interrogeons de même :

"- Quand les psys se penchent sur le cas Sarkozy

De très sérieux universitaires planchent à l'Université Paris VII, sur le psychisme de notre Président. Marianne2 y était. L'exposant a parlé d'action et de masturbation.

Même le Washington Post (édition du 15 février dernier) le dit : la France entière ne bruisse que d'une question. Et cette question, ce n'est pas : « Carla Bruni va-t-elle tomber enceinte ? », contrairement à ce que croit la presse de notre côté de l'Atlantique. Non, que ce soit au bistrot, au boulot ou dans le métro, ce que les Français - les « vraies gens », quoi - se demandent, c'est : «Sarkozy a-t-il toute sa tête ?». Il n'est donc guère surprenant de trouver, dans les programmes de l'UFR de Sciences humaines Cliniques de l'université Paris VII, un séminaire de psychanalyse intitulé «Sarkozy, le symptôme · Lecture de l'inconscient». Le psychiatre et psychanalyste Hervé Hubert, qui anime le cours en question, a prévu de consacrer 9 séances au «cas» Sarkozy sur la base de Témoignage, le livre que Nicolas a publié en 2006 et dans lequel il raconte sa vie, de l'enfance à la candidature. Nous avions raté le premier cours- dont la conclusion était, en gros : le principe fondamental du sujet Sarkozy, c'est qu'il nous dit la vérité et qu'il nous aime (enfin, c'est ce qu'il croit. Mais en psychanalyse, c'est ce que croit le patient qui est important, pas la réalité). Voici le résumé du deuxième.

Martyr, prédateur, barbare

L'enfant Sarkozy est un enfant souffrant. Pas beau, pas sportif, se croyant mal aimé, et vraiment abandonné par son père. D'où l'ombre de l'enfant qui plane sur les décisions du président : enfant martyr (de la Shoah, de la pédophilie) ou enfant prédateur, barbare (enfant de sans-papiers qu'il faut chasser, racaille des cités qu'il faut éradiquer). On note également l'importance de la notion de puissance phallique chez un masturbateur forcené qui doute, justement, de sa puissance. On apprécie aussi le fait que Nicolas, apprenant à 18 ans que son défunt arrière grand-père était un bijoutier juif de Salonique, se lance immédiatement dans la quête· de sa part d'héritage grand-paternel perdue : il se rend à Salonique pour réclamer 4000 francs (et à l'époque, ce n'est pas rien). C'est que Nicolas, à moitié abandonné par son père qui ne veut même pas verser la pension alimentaire, a décidé que désormais, il se servirait. Dont acte. Mais tout ça, nous dit-on, n'est que quête d'amour·

L'action ne doit jamais cesser

L'amour est, avec l'action, le moteur de super Nico. Chez lui, l'action vaut tout. Elle remplace l'acte qui, lui, suppose un avant et un après, une réflexion sur les conséquences, une portée symbolique. L'action, c'est juste le mouvement. Je pense à un truc, je le dis, je le fais. Je réfléchis après. Pour Sarkozy, l'action ne doit pas cesser, ou l'amour ne doit pas cesser, sinon, c'est la destruction. Alors, puisque les Français ne l'aiment plus, Nicolas agit. Et c'est là que son inconscient parle. « Qui parle ? Ça parle », comme dirait l'autre.
Exemple : je vois dans mon agenda que je dois aller au dîner du Crif ce soir. Je me dis qu'il faut trouver quelque chose à dire (action). Puis, je sais pas, l'inspiration sans doute, je dégote ce truc d'enfant de la Shoah. Action encore. Eh bien non : l'enfant de la Shoah, c'est mon inconscient qui me l'a dicté. C'est le petit enfant souffrant en moi qui parle.
Très bien. Mais alors qui, en Nicolas Sarkozy, s'exprime quand il décide de toiletter la loi de 1905, quand il laisse sa directrice de cabinet expliquer que la Scientologie, ce n'est guère plus menaçant qu'un club de bridge ? L'adolescent qui se masturbait en s'imaginant jouer le rôle de Tom Cruise dans Top gun ?
La suite le 13 mars·
Vendredi 22 Février 2008 - 00:15
Bénédicte Charles

Tags : inconscient; paris 7; psychanalyse


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vendredi, février 15, 2008

SAS (suite)




Cher confrère

Permettez-moi de revenir sur le problème des SAS pour répéter que le caractère légal de leur existence n’enlève rien à la médiocrité de leurs objectifs, de leurs débats et de leurs jugements. Ma totale opposition à ces instances ne procède pas d’un quelconque rejet de l’autorité et encore moins d’une tendance à l’anarchie, il s’agit au contraire d’une démarche citoyenne pour la défense de la déontologie médicale de l’honorabilité des médecins et du Droit.

1° Sur le concept même des SAS

Faut il rappeler que la compétence de l’Ordre et ses possibilités de sanction sont strictement limitées au domaine de la déontologie médicale
En effet à moins de donner n’importe quel contenu à la déontologie médicale tous les conflits relevant du Droit commun ou de contentieux techniques n’ont rien à faire devant une juridiction ordinale, même s’il est admis que l’Ordre puisse prononcer une sanction pour manquement à la déontologie APRES qu’un praticien ait été jugé coupable par un tribunal de la République. , au terme d’une instruction à charge et à décharge, de débats objectifs et contradictoires L’Ordre des Médecins n’a pas pour mission de servir de bras séculier aux CPAM. Les délits de Droit Commun comme la fraude à l’assurance maladie relèvent de la compétence des tribunaux correctionnels de la République de même que les contentieux techniques entre les praticiens et les caisses d’assurance maladie sont de la compétence des TASS. Les exemples de poursuite engagées par les caisses devant les SAS pour des motifs de droit commun ou de
contentieux techniques sont nombreux, le fait de les interpréter dans un cadre déontologique non approprié, consiste à appliquer le Code de Déontologie comme d’autres interprètent le Coran, la multiplication de telles actions dans un département comme la Drôme par exemple, est la marque d’une dérive certaine.
Enfin, les conflits entre les médecins et les caisses sont souvent de nature financière, alors que l’élaboration des tarifs médicaux obéit à des impératifs macroéconomiques totalement étrangers à la déontologie médicale Les médecins des caisses se présentent volontiers dans ces procédures, comme les défenseurs des malades vis-à-vis de médecins indélicats avant même qu’une faute déontologique ait été prouvée et appréciée par l’Ordre Le respect de tarifs médicaux déconnectés de la réalité économique, et parfois bloqués durant des années n’a pas non plus de rapports évidents avec la déontologie médicale
On ne peut que féliciter les conseillers ordinaux et les Présidents de Conseils départementaux qui ne confondent pas la déontologie médicale avec la défense du système d’assurance maladie collectivisé, et qui ne voient pas, dans la création d’une « police médico-sociale » dont l’Ordre Des Médecins serait un des bras armé, une solution aux éternels et insurmontables problèmes financiers d’un système d’assurance maladie inadapté à l’offre comme à la demande de soins des français



2°Sur le fonctionnement des SAS

N’étant pas juriste, je me contenterai de reproduire l’analyse de Maître VITENBERG que chacun peut trouver sur le site internet droit-medical.net. dont je reprendrai les éléments principaux et les conclusions Une analyse juridique objective démontre facilement que les procédures devant les SAS sont contraires aux droits fondamentaux des justiciables Elles sont caractérisées par le cumul des fonctions parties plaignantes et témoin, l’absence de réponse aux moyens soulevés par la défense, le recueil contestable des témoignages à charge, des avis sapiteurs orientés sans débats contradictoires amenant à la contestation des indications thérapeutiques sur la foi du seul témoignage des médecins conseils qui prévaut sur ceux des experts réellement compétents ou se substitue à eux

Je cite Maître VITENBERG
« La maîtrise médicalisée des dépenses de santé mérite-t-elle ce régime d’exception en France de la Déclaration des droits de l’Homme ? Et le code des tribunaux administratifs serait-il un ouvrage subversif et interdit ? Quelle est la finalité de cette situation ? Les médecins perçoivent très mal leur exclusion de l’État de droit, alors que leur collaboration est indispensable pour la réussite de la maîtrise des dépenses de Santé »
J’ajoute que ces procédures inquisitoriales traumatisantes pour les médecins se déroulent le plus souvent sans qu’il soit donné aux praticiens accusés le temps de préparer leur défense
Je souligne que leurs noms se trouvent placardés dans les locaux des caisses fréquentés par le public ajoutant un caractère infamant aux sanctions quelle qu’en soit l’importance.
J’affirme que le degré d’inimitié entre un médecin conseil et un praticien accusé peut avoir un impact intolérable sur la procédure engagée contre lui, sans que ce facteur puisse être mesuré ou admis.
J’affirme que la sélection des médecins poursuivis ne doit rien au hasard et à l’objectivité qui sied à la justice républicaine. J’affirme que les médecins Conseil de la Drôme dénigrent les médecins incriminés auprès de leurs patients, ce qui est une faute déontologique caractérisée sans que les médecins conseils puissent être condamnés pour l’avoir commise.
Je dénonce l’exploitation sociale et politique qui peut être faite de ces parodies de justice, à l’encontre du corps médical dans son ensemble…
Rien de plus facile en effet pour un médecin conseil de dire à un patient à propos d’un praticien qui se trouve dans son collimateur « le Dr Untel vous a opéré du rachis il vous a demandé un gros dépassement d’honoraires et vous avez toujours mal au dos… » c’est malhonnête, scientifiquement dérisoire mais « socialement efficace »…et cela a été fait…. Sans possibilité de sanction du médecin conseil par l’Ordre

Jusqu’à présent nos critiques envers les SAS n’ont eu pour réponse que la langue de bois et de sourdes tentatives d’intimidation, réponses dérisoires et inutiles devant les problèmes déontologiques juridiques et moraux que nous soulevons. Nous nous refusons à penser que l’institution ordinale ajoute le délit d’opinion à ces procédures contestables, et nous attendons sereinement mais de pied ferme une argumentation de nos propos.





L’esprit du Droit est d’éviter l’arbitraire et de limiter autant que possible les erreurs judiciaires. Nous avons tellement de preuves de dysfonctionnements, d’erreurs et d’injustices dans les procédures des SAS que nous les considérons comme contraire au Droit et c’est la raison pour laquelle nous demandons leur suppression L’usage modéré qui en est fait dans certains département et l’usage immodéré qui en est fait dans d’autres, renforcent, d’autre part l’impression d’une justice a plusieurs vitesses qui ne correspond pas à l’esprit de notre république Il n’y a rien de bon dans les SAS et aucun homme de bien ne peut reconnaître leur existence comme étant conforme aux principes de la morale et du Droit


JFH

mardi, février 12, 2008

MALADE IN FRANCE, ET SI CA M'ARRIVAIT ? J'AI PEUR




Comme les attaques contre le secteur 2 en témoignent et comme le fait aussi la tentative de détournement de l'attention des victimes de la Sécu sur les bouc émissaires médecins..; il n'y a jamais d'alternance et encore moins de rupture à la Sécu

Engendrée par les factions collectivistes noyautée par la gauche depuis sa création la Sécu impose ses vues à tous les gouvernementsnts fussent-ils libéraux...

Comment avoir l'air de défendre les assurés sociaux assujétis à un système d'assurance dépassé et en faillite en sauvant la face? FACILE il suffit de taper sur les médecins...
ique MItterrand, Chirac ou Sarko soient au pouvoir rien ne change... (voir mes Emails antérieurs).

Dans cette CONtinuité certains médecins masochistes continuent à avoir les yeux de Chimène pour notre modèle social.. d'autres vont plus loin en s'auto-accusant des difficultés rencontrées par le "meilleur des pires systèmes de merde du monde".


Heureusement que la fin de ma carrière est proche .. Mais une question me taraude :" Qui me soignera et selon quels critères???"

j'ai peur....



JFH

samedi, février 09, 2008

L'ENFER A BEAU êTRE PAVé DE BONNES INTENTIONS CELA RESTE L'ENFER




Un plan pour garantir l'accès aux soins partout en France" C'est aujourd'hui que Roselyne Bachelot présente des mesures qui devraient à l'avenir améliorer la répartition des professionnels de santé sur le territoire, à l'issue des premières conclusions des "états généraux de la santé", note La Tribune qui précise que le plan élaboré envisage prudemment des mesures contraignantes en direction des médecins. Selon le document de travail, "Tout en privilégiant l'ensemble des mesures incitatives" , il faut "accepter la perspective de mesures de régulation applicables à tous les médecins en zone surdotée", en concertation avec les professionnels. De son côté, le Conseil national de l'Ordre des médecins (CNOM) a livré hier sa "boite à outils" pour concilier la liberté d'installation, "principe indiscutable" , avec une offre de soins "mieux répartie", souligne Quotimed. L'édition papier du jour du Quotidien du Médecin présente enfin les grandes pistes de réforme qui s'inscrira en conclusion des Etats généraux de l'organisation des soins : définir l'offre de premier recours, adapter la formation en médecine générale, accompagner l'installation des praticiens dans les déserts médicaux et faire évoluer les modalités d'exercice et de rémunération.
__._,_.___

mercredi, février 06, 2008

EN DIRECT DES SA(c)S ...de la Drôme et d’ailleurs…)






EN DIRECT DES SAS (de la Drôme et d’ailleurs…)
A propos de 5 affaires récentes

Généralités :
Autoriser qu’une même personne morale , une C.P A M , puisse saisir l’instance ordinale, instruire , juger et condamner en fait un tribunal d’exception
Après des parodies d’ instructions , totalement à charge, le recueil de témoignages douteux et d’ avis sapiteurs scélérats menant à des jugements partiaux et indignes , les SAS font appliquer des sanctions à leurs « victimes » sous l’entière responsabilité de l’instance ordinale. La perversité de ce système est reconnue par un nombre croissant de médecins de conseillers ordinaux et de juristes
Détails des dysfonctionnements et des abus :
Concernant cinq dernières affaires que nous avons analysées dans le département de la DROME , nous sommes en mesure de dénoncer le fonctionnement de ces sections d’assurances sociales indignes de notre démocratie et d’en relever les abus de façon très précise
1° Existence de faux témoignages (Affaire Dr COR…)
2° Accusé en activité obligé de se justifier sur de nombreux dossier dans un délais exagérément court sans possibilité de report pour préparer une défense (Affaires Dr COR … Dr OUR… Dr QUA…)
3° Dérive des compétences, à partir de problèmes de cotations, la CPAM s’accorde le droit de contester les indication (Affaires Dr OUR… Dr QUA…)
4° Une C.P A M s’autorise à dénigrer une praticien impliqué auprès de ses patients (Affaire Dr OUR…)
5° Refus systématique d’expertise contradictoire voire même refus d’expertise pure et simple (Affaire Dr OUR…)
6° Annonce d’une condamnation avant même que la peine ne soit confirmée (Affaire Dr OUR…)
7° Critique stupide d’un profil d’activité selon les critères partiaux des seuls médecins conseils, sans tenir compte des spécificités , alors même que le bénéfice va au patients et même aux économies de santé (Affaire Dr R… Dr QUA)
8° Reproche à un praticien l’ excès de certains types d actes alors qu’il est le seul du département à posséder le matériel pour à les pratiquer (Affaire Dr QUA…)
9°Apparition subite de témoignages scélérats notamment d’une nouvelle plainte d’un salarié de la caisse ( !...) télécommandée entre la première instance et la plainte (Affaire Dr QUA…)
10°Reproche et condamnation d’une praticien à propose de cotations erronées effectuées ANTERIEUREMENT à des remontrances, au prétexte que ces recommandation n’ont pas été respectées ( !....) (Affaire Dr G…)
11° Dates d’exécution des sanctions , fixées dans un délai incompatible avec celui des démarches du recours en Conseil D’Etat non suspensif (Affaire Dr QUA..)

CONCLUSIONS :
Nous voyons donc la perversité d’un système qui autorise les médecins Conseils des CPAM à effectuer des contrôles non contradictoires sans réelle expertise, aboutissant à des sanctions pratiquement décidées d’avance, alors qu’ils ne devraient être considérés que comme des témoins , et des justiciables ordinaires.


Il est par ailleurs totalement I N A C C E P T A B L E que les seuls conseillers ordinaux d’ailleurs en minorité s’acquittent de valider ces jugements en les assumant AU NOM DE L’ORDRE ( !...) alors que ces pantalonnades para judiciaires sont entièrement orchestrées par les médecins conseils des CPAM.

Les exemples d’irrégularités comme celles décrites ci-dessus devraient amener les conseillers ordinaux à refuser de signer les procès verbaux de ces jugements sous peine d’être eux-mêmes condamnables .
Les affaires de sécurité sociales devraient toutes être confiées au TASS, dont on connaît le fonctionnement beaucoup plus conforme aux règles du Droit, et au respect des principes moraux qui doivent guider tous ceux qui ont à témoigner ou à rendre la justice.
Faire évoluer la Loi pour mettre fin à ces Sections des Assurances Sociales permettrait de la faire évoluer vers plus de conformité avec les règles de notre République
Appelons le Ministre de la Santé le Garde Des Sceaux et tous nos Députés à une action dans ce sens

Dr J-F HUET
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